mardi 30 novembre 2010 | By: Nevert Degirmenci

N’attendez pas que Google vienne à vous, allez vers lui

Source: Google
Une fois votre site web ou votre blog créé, vous passez d’utilisateur à propriétaire d’un bien virtuel. 

Au même titre qu’un propriétaire immobilier, vous gagnez à vous faire connaître. La visibilité sur le web concernant  les personnes ayant déjà fait l’objet d’un billet, place à celles des sites et des blogs.
 
Pour être connu et visité, au-delà de votre cercle de relations, vos site ou blog doivent apparaître sur les moteurs de recherche et surtout sur le géant Google.

Deux options s’offrent alors  à vous : prier ardemment pour que Google se penche sur votre site/blog, le remarque et l’inclut dans ses résultats de recherche. Les chances que la prière soit exhaussée sont maigres mais pas nulles.

L’autre option consiste à passer à l’action en présentant son site/blog à Google. Mais comment ? Où ? Si la page d'accueil de Google est très épurée, l'onglet « A propos de Google» situé en bas de page constitue le sésame qui permet de compter parmi les résultats de recherche. Il  suffit d’y entrer l’url du site/blog et patienter ensuite de quatre à six semaines, le temps que le roi des moteurs du web scanne votre url parmi les milliards de pages qu’il indexe.

Des deux moyens, même si le second semble plus actif et prosaïque, le premier n’est pourtant pas absurde en dépit des apparences. L'absence de signalement de son site/blog n’exclut pas de facto son indexation sur le moteur de recherche.

Google indexe en effet des pages en passant de l’une à l’autre par le biais des hyperliens. Ceux-ci, nombreux sur les pages web, renvoient non seulement vers d'autres pages du même site mais également vers des pages extérieures. 

C'est au cours de ce processus que votre site/blog peut être référencé. L'inconvénient est qu'il n'y a aucune garantie que l'entièreté de son contenu soit indexée.

Si ces précisions lèvent un coin du voile sur le principe du référencement naturel sur Google, elles ne représentent pourtant que d’infimes bribes du secret jalousement gardé de son algorithme. 

Les voies du géant de la recherche restent impénétrables.

Bien se faire voir et être bien vu

La maîtrise de son image ou de sa communication sur le web comme dans la vraie vie nécessite un savoir-faire, l’utilisation de sites ou outils adéquats et un suivi.

A moins d’être un ermite en Corée du Nord ou un analogiste convaincu, mener une «existence » sur le web est devenu incontournable pour ne pas rater des opportunités. 

Qu’il s’agisse d’une personne lambda, d'une personnalité connue ou d’une entreprise, il convient de maîtriser le message que l’on souhaite véhiculer.

Ainsi, un chercheur d’emploi publiera son CV sur des réseaux professionnels tels que LinkedIn ou Viadeo et veillera à ne pas paraître trop fêtard sur les photos de son profil Facebook qu’il aura de surcroît rendu public. Il pourrait également entretenir un blog ciblé sur sa spécialité professionnelle ou ses intérêts.

La personnalité politique, elle, mettra en place un relais d’informations en plus du site de son parti politique. Pour être visible et maîtriser sa réputation sur le net, elle devra tenir un blog mis à jour régulièrement, disposer d’un compte Twitter ou d’un profil Facebook. 

Mais ces outils peuvent se révéler être des armes à double tranchant. La circulation de l’information en temps réel peut rapidement transformer une simple bourde en  buzz négatif. Une connaissance préalable de ces outils et de leurs modes de fonctionnement est indispensable. L’appel à un spécialiste en e-réputation permettra d’éviter certains écueils du net.

Concernant l’entreprise, pour toucher de nouveaux clients, elle doit être visible au-delà de son site. D’abord via les moteurs de recherche qui dirigent une grande partie des visiteurs vers les sites web.  

Selon qu’elle fasse du B2B ou du B2C, le vocabulaire utilisé est important pour être identifié à travers des mots-clés communs, par exemple, au secteur. 

D'autres techniques plus perfectionnées vous seront expliquées au cours des prochains épisodes.

Le cloud-computing à la conquête des PME

Un nouveau portrait du monde de l’entreprise est en train de se dessiner. L’Internet mobile a déjà permis de s’affranchir de l’espace.

Avec la croissance du cloud-computing, une révolution s’amorce cette fois dans l’informatique des entreprises. L’informatique ainsi dématérialisée offre souplesse, qualité de service et réduction des coûts.

Le principe du cloud-computing, traduisez informatique en nuage, consiste à utiliser les mémoires et capacités de plusieurs ordinateurs répartis dans le monde entier. 

Résultat : les applications et les données ne se trouvent plus sur un serveur local mais dans un nuage accessible via une connexion au net. 

Et cet immense nuage, nous y plongeons tous la tête sans y penser. Si, si, nous les internautes, lorsque nous traitons notre correspondance virtuelle, stockons des photos ou vidéos sur le web ou encore lorsque nous entretenons nos contacts sur les réseaux sociaux. 

Dopé par ce succès, le cloud-computing, lancé d’abord par le cybermarchand Amazon, convoite depuis quelques années les entreprises. C’est auprès des starts-up et des PME qu’il connaît le plus grand succès. 

Pour les PME, la réduction des coûts d’installation et de fonctionnement des infrastructures informatiques représente une aubaine. Elles ne doivent plus investir dans l’achat de licences des logiciels, ni dans le renouvellement de matériel informatique qui nécessite des capacités de mémoire vive et un espace disques trop importants. Le tout est simplifié avec un simple abonnement payé à un fournisseur d’accès à Internet. 

Dès lors, le travail collaboratif est favorisé par le travail simultané des collaborateurs sur un même logiciel. Le cloud-computing se met ainsi au diapason des besoins de mobilité des entreprises. La connexion à partir des téléphones mobiles est facilitée puisqu’il n’est plus nécessaire d’installer les logiciels.

En dépit du succès du cloud-computing  dont la croissance annuelle atteint 25%, les grandes entreprises privées et les institutions restent encore frileuses. Mais la révolution est en marche. Le géant de la recherche sur le web compte 3000 nouveaux clients par jour sur son Google Apps.

L’informatique en nuage pourrait également provoquer des éclaircies sur le marché de l’emploi. Selon une étude publiée en 2009, l’adoption du cloud-computing  par sa facilitation d’accès à des ressources technologiques à coût réduit, pourrait permettre la création de centaines de milliers de nouvelles entreprises et par conséquent d’au moins un million et demi d’emplois en Europe.

Pour plus d’informations, voir le dossier cloud-computing sur www.rslnmag.fr

Big Google is watching you


Image: Google
A une époque pas si lointaine, pour cultiver notre savoir, on consultait un dictionnaire ou une encyclopédie, on se rendait dans une bibliothèque à la rigueur.

Depuis presque une décennie, la mine d’or d’informations que recèle le web est en train de reléguer nos anciens outils de recherche au statut de pièces de musée.

Cette mine d’or serait un labyrinthe sans les moteurs de recherche, et notamment le géant Google. Encore faut-il apparaître dans les premiers résultats de cet agent de la navigation sur le web, autrement dit être bien référencé.

Parce que l’internaute sème parfois à son insu des informations au fil de ses clics notamment sur les réseaux sociaux, les blogs, etc, comme un Petit Poucet, ses données sont collectées lorsque les moteurs de recherche scannent le web pour proposer des résultats adéquats aux termes de recherches.

Google fait à ce sujet actuellement l’objet d’une plainte aux Etats-Unis parce qu’il permet de tracer l’origine des visites. Des internautes réunis en nom collectif  lui reprochent de violer la vie privée de ses utilisateurs en communiquant des données confidentielles à des tiers à des fins commerciales.

D’autres services tels que le Google Street View, service de photos panoramiques et bientôt le lancement de Google Place Search, fonction de géolocalisation renforcée accentue l’offre de service et consolide sa place de leader.

Si la manne d’informations et de services qu’offre Google n’est certainement pas à contester, il convient d’être conscient que nous échangeons des informations non pas seul devant un écran mais sur une scène ouverte au monde.

Le co-fondateur de Google, Sergey Brin avait déclaré en septembre dernier à l’occasion du lancement de son Google Instant, mise à jour en temps réel des termes recherchés : « Nous voulons que Google soit la troisième moitié de votre cerveau ». Le nouveau Big Brother serait-il prénommé Google ?

Sources :
http://tinyurl.com/3aduq47
http://tinyurl.com/2u65c77
http://tinyurl.com/3xd2qep
http://tinyurl.com/35bh6oh
lundi 29 novembre 2010 | By: Nevert Degirmenci

Le BA-ba de l'Intelligence Stratégique

L'IE était un pays inconnu pour moi, une sorte de nation absente de mon atlas personnel. Enfin, avant la formation dans laquelle je me suis plongée il y a près de deux mois.
J'en apprends tous les jours sur sa constitution, ses lois, ses coutumes et ses traditions.

Sa langue aussi avec des termes tels que veille. Il y a la recherche et ses méthodes spécifiques avec les syntaxes des moteurs de recherche. Les fils RSS aussi qui sont indispensables dans un système de veille.

mercredi 10 novembre 2010 | By: Nevert Degirmenci

Inauguration


Dommage qu'il n'y ait pas de ruban satiné à couper d'un coup de ciseaux.
Mon premier blog (pas le dernier j'espère) est né. Qu'il grandisse en intéressant ses lecteurs (nombreux au fil du temps).